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Alzheimer : un nouveau gène de la maladie identifié chez les femmes

Alzheimer est la première cause de démence. Deux personnes sur trois touchées par cette maladie sont des personnes de sexe féminin. Dans une récente étude américaine, les chercheurs ont découvert un gène présent chez les femmes qui pourrait expliquer qu’elles soient plus touchées par Alzheimer.

Selon les dernières estimations, la maladie d’Alzheimer touche 1,2 million de personnes en France. Cette pathologie neurodégénérative se développe avec l’âge, mais n’est pas pour autant une caractéristique normale de la vieillesse. Elle conduit à la dégénérescence des cellules nerveuses, ainsi qu’à la perte progressive de la mémoire et de certaines fonctions intellectuelles. À terme, la maladie a des répercussions sur la vie quotidienne des malades qui ne peuvent plus effectuer certaines tâches quotidiennes.

Parmi les personnes touchées, deux sur trois sont des femmes. Dans une récente étude menée par l’Université de Boston et de Chicago, les scientifiques se sont penchés sur ce qui pourrait expliquer cela. Ils ont découvert qu’un gène présent chez la femme pourrait être en cause. Les chercheurs ont publié leurs résultats dans la revue Alzheimer’s Disease & Dementia: The Journal of the Alzheimer’s Association.

Alzheimer : observation d’une cause génétique chez les femmes

Pour observer cela, les chercheurs ont mené une recherche d’association pangénomique, aussi appelée GWAS (étude d’observation d’un ensemble de variantes génétiques). Pour cela, ils ont utilisé deux méthodes. La première se fondait sur l’analyse des données génétiques d’un groupe de 10 340 femmes dépourvues du gène ApoE4 (génotype considéré comme le facteur de risque génétique principal de la maladie d’Alzheimer).

La seconde s’est concentrée sur les Huttérites (population d’ascendance centrale présente au Canada et aux États-Unis). Ils sont souvent étudiés en génétique car, en raison de leur culture isolée, ils possèdent un ensemble de gènes très petit. Sur les 31 membres observés, 22 étaient des femmes.

Dans les deux expériences, le MGMT (le gène qui participe à la réparation de l’ADN) était significativement associé au développement de la maladie d’Alzheimer.

« Il s’agit de l’une des rares, et peut-être des plus fortes associations montrant facteur de risque génétique de la maladie d’Alzheimer spécifique aux femmes », a déclaré Lindsay Farrer, chef de la génétique biomédicale à BUSM et auteur de l’étude.

Le gène MGMT augmente le risque d’Alzheimer chez les femmes

Les chercheurs ont ensuite évalué le gène MGMT plus en détail à l’aide de plusieurs types de données moléculaires. À la fin de leur analyse approfondie, ils ont découvert que la régulation de l’expression des gènes de MGMT était associée de manière significative au développement de l’amyloïde-β et des protéines tau (qui constituent une caractéristique de la maladie d’Alzheimer), en particulier chez les femmes.

« Cette étude a mis en évidence la valeur des populations fondatrices pour les études de cartographie génétique de maladies comme la maladie d’Alzheimer”, a déclaré Carole Ober, PhD, présidente de la génétique humaine à l’Université de Chicago et auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs, ces travaux démontrent l’importance de rechercher les facteurs de risque génétiques de la maladie d’Alzheimer, qui peuvent être spécifiques à un sexe. D’autres études sont nécessaires pour comprendre la raison pour laquelle la MGMT influence plus le risque d’Alzheimer chez les femmes que chez les hommes.

Alzheimer : observation d’une cause génétique chez les femmes

Pour observer cela, les chercheurs ont mené une recherche d’association pangénomique, aussi appelée GWAS (étude d’observation d’un ensemble de variantes génétiques). Pour cela, ils ont utilisé deux méthodes. La première se fondait sur l’analyse des données génétiques d’un groupe de 10 340 femmes dépourvues du gène ApoE4 (génotype considéré comme le facteur de risque génétique principal de la maladie d’Alzheimer).

La seconde s’est concentrée sur les Huttérites (population d’ascendance centrale présente au Canada et aux États-Unis). Ils sont souvent étudiés en génétique car, en raison de leur culture isolée, ils possèdent un ensemble de gènes très petit. Sur les 31 membres observés, 22 étaient des femmes.

Dans les deux expériences, le MGMT (le gène qui participe à la réparation de l’ADN) était significativement associé au développement de la maladie d’Alzheimer.

« Il s’agit de l’une des rares, et peut-être des plus fortes associations montrant facteur de risque génétique de la maladie d’Alzheimer spécifique aux femmes », a déclaré Lindsay Farrer, chef de la génétique biomédicale à BUSM et auteur de l’étude.

Le gène MGMT augmente le risque d’Alzheimer chez les femmes

Les chercheurs ont ensuite évalué le gène MGMT plus en détail à l’aide de plusieurs types de données moléculaires. À la fin de leur analyse approfondie, ils ont découvert que la régulation de l’expression des gènes de MGMT était associée de manière significative au développement de l’amyloïde-β et des protéines tau (qui constituent une caractéristique de la maladie d’Alzheimer), en particulier chez les femmes.

« Cette étude a mis en évidence la valeur des populations fondatrices pour les études de cartographie génétique de maladies comme la maladie d’Alzheimer”, a déclaré Carole Ober, PhD, présidente de la génétique humaine à l’Université de Chicago et auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs, ces travaux démontrent l’importance de rechercher les facteurs de risque génétiques de la maladie d’Alzheimer, qui peuvent être spécifiques à un sexe. D’autres études sont nécessaires pour comprendre la raison pour laquelle la MGMT influence plus le risque d’Alzheimer chez les femmes que chez les hommes.

Alzheimer : observation d’une cause génétique chez les femmes

Pour observer cela, les chercheurs ont mené une recherche d’association pangénomique, aussi appelée GWAS (étude d’observation d’un ensemble de variantes génétiques). Pour cela, ils ont utilisé deux méthodes. La première se fondait sur l’analyse des données génétiques d’un groupe de 10 340 femmes dépourvues du gène ApoE4 (génotype considéré comme le facteur de risque génétique principal de la maladie d’Alzheimer).

La seconde s’est concentrée sur les Huttérites (population d’ascendance centrale présente au Canada et aux États-Unis). Ils sont souvent étudiés en génétique car, en raison de leur culture isolée, ils possèdent un ensemble de gènes très petit. Sur les 31 membres observés, 22 étaient des femmes.

Dans les deux expériences, le MGMT (le gène qui participe à la réparation de l’ADN) était significativement associé au développement de la maladie d’Alzheimer.

« Il s’agit de l’une des rares, et peut-être des plus fortes associations montrant facteur de risque génétique de la maladie d’Alzheimer spécifique aux femmes », a déclaré Lindsay Farrer, chef de la génétique biomédicale à BUSM et auteur de l’étude.

Le gène MGMT augmente le risque d’Alzheimer chez les femmes

Les chercheurs ont ensuite évalué le gène MGMT plus en détail à l’aide de plusieurs types de données moléculaires. À la fin de leur analyse approfondie, ils ont découvert que la régulation de l’expression des gènes de MGMT était associée de manière significative au développement de l’amyloïde-β et des protéines tau (qui constituent une caractéristique de la maladie d’Alzheimer), en particulier chez les femmes.

« Cette étude a mis en évidence la valeur des populations fondatrices pour les études de cartographie génétique de maladies comme la maladie d’Alzheimer”, a déclaré Carole Ober, PhD, présidente de la génétique humaine à l’Université de Chicago et auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs, ces travaux démontrent l’importance de rechercher les facteurs de risque génétiques de la maladie d’Alzheimer, qui peuvent être spécifiques à un sexe. D’autres études sont nécessaires pour comprendre la raison pour laquelle la MGMT influence plus le risque d’Alzheimer chez les femmes que chez les hommes.

Alzheimer : observation d’une cause génétique chez les femmes

Pour observer cela, les chercheurs ont mené une recherche d’association pangénomique, aussi appelée GWAS (étude d’observation d’un ensemble de variantes génétiques). Pour cela, ils ont utilisé deux méthodes. La première se fondait sur l’analyse des données génétiques d’un groupe de 10 340 femmes dépourvues du gène ApoE4 (génotype considéré comme le facteur de risque génétique principal de la maladie d’Alzheimer).

La seconde s’est concentrée sur les Huttérites (population d’ascendance centrale présente au Canada et aux États-Unis). Ils sont souvent étudiés en génétique car, en raison de leur culture isolée, ils possèdent un ensemble de gènes très petit. Sur les 31 membres observés, 22 étaient des femmes.

Dans les deux expériences, le MGMT (le gène qui participe à la réparation de l’ADN) était significativement associé au développement de la maladie d’Alzheimer.

« Il s’agit de l’une des rares, et peut-être des plus fortes associations montrant facteur de risque génétique de la maladie d’Alzheimer spécifique aux femmes », a déclaré Lindsay Farrer, chef de la génétique biomédicale à BUSM et auteur de l’étude.

Le gène MGMT augmente le risque d’Alzheimer chez les femmes

Les chercheurs ont ensuite évalué le gène MGMT plus en détail à l’aide de plusieurs types de données moléculaires. À la fin de leur analyse approfondie, ils ont découvert que la régulation de l’expression des gènes de MGMT était associée de manière significative au développement de l’amyloïde-β et des protéines tau (qui constituent une caractéristique de la maladie d’Alzheimer), en particulier chez les femmes.

« Cette étude a mis en évidence la valeur des populations fondatrices pour les études de cartographie génétique de maladies comme la maladie d’Alzheimer”, a déclaré Carole Ober, PhD, présidente de la génétique humaine à l’Université de Chicago et auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs, ces travaux démontrent l’importance de rechercher les facteurs de risque génétiques de la maladie d’Alzheimer, qui peuvent être spécifiques à un sexe. D’autres études sont nécessaires pour comprendre la raison pour laquelle la MGMT influence plus le risque d’Alzheimer chez les femmes que chez les hommes.

Source

https://alz-journals.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/alz.12719

https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/dementia