À tout âge, apprendre une deuxième langue stimule le cerveau, les fonctions cognitives et retarde ainsi le vieillissement.
Une étude américaine a porté sur une quarantaine d’anglophones volontaires pour suivre des cours de chinois pendant 6 semaines. Après chaque cours, les participants devaient passer un examen d’imagerie cérébrale par IRM.
Résultat, au fil des séances, les connexions neuronales au sein des réseaux cérébraux gagnaient rapidement en complexité et en qualité, et ce, même chez les personnes âgées.
Autrement dit, le cerveau reste malléable toute la vie. Et l’entraînement régulier reste bénéfique même à un âge avancé. Faire fonctionner ses neurones contribue à lui offrir une seconde jeunesse. Reste à confirmer que l’apprentissage d’une langue ou de tout autre apprentissage (littéraire, artistique, musical…) contribue à retarder l’apparition des maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer…
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